


Vous aimez manger ? Si la réponse à cette question est oui (et elle le sera forcément !), il y a des plats que vous devez impérativement goûter au moins une fois dans votre vie. Du plus classique ou plus original, nous en avons sélectionné 20 pour vous. Que vous soyez amateur de sucré ou de salé, il y en a pour tous les goûts !
On commence fort, avec ce poisson venimeux dont raffolent les Japonais. Prudence cependant, car s’il est mal préparé, c’est la mort assurée : son organisme contient en effet de la tétrodotoxine, un poison mortel qui provoque un arrêt respiratoire. Mieux vaut donc être certain du cuisinier lorsqu’on le consomme.
D’ailleurs, au Japon, seuls les restaurants qui emploient un chef minutieusement formé sont autorisés à en servir. La méthode à appliquer ? Fileter le poisson lorsqu’il est toujours vivant, en faisant attention à ne pas toucher son foie, son intestin et ses gonades (organes reproducteurs), puisque c’est là qu'est contenu le poison. Une fois cette opération effectuée délicatement, sa chair est donc parfaitement comestible.
Le plus souvent présenté en sashimi (sa chair, un peu sucrée, étant fibreuse, il est conseillé de manger le fugu en tranches fines), il vous faudra cependant mettre le prix pour le déguster : une assiette de sashimi peut atteindre les 60 euros.
Pouvant également être consommé en soupe (chirinabe), ce célèbre poisson a même sa propre journée au Japon, le 9 février.
Des frites croustillantes recouvertes de fromage frais en grain et de sauce brune (à base de graisse de bœuf) : c’est LE plat incontournable si vous passez par le Québec ! Un régal pour vos papilles, et de quoi contenter votre estomac. En revanche, ce sont vos cuisses qui vous remercieront moins, la poutine étant une bombe calorique.
Le fromage en grain, vous connaissez ? Au Canada, il est aussi appelé fromage "skouik-skouik", en raison du bruit qu’il fait lorsqu’on le mâche. Il s’agit en fait de fromage cheddar frais qui n’a pas subi de pressage.
Parfois accompagnée de viande hachée ou de saucisses (pour ceux qui ont une grande faim), la poutine est aussi bien servie dans les friteries que les foodtrucks, mais aussi dans les fast-foods ou les restaurants gastronomiques (avec du foie gras notamment).
Originaire de la province italienne de Reggio Emilia, le zabaione, qui signifie "mousser" dans un ancien dialecte régional, a été inventé par Giovanni Baglioni, un capitaine qui avait ordonné à ses soldats de ramener des vivres. Ces derniers revenus avec un maigre butin (des œufs, du miel, du vin blanc et des herbes aromatiques), il s’empressa alors de préparer une soupe avec ces ingrédients. C’est ainsi, et de manière totalement imprévue, qu’est né le sabayon !
Si sa recette semble simple, elle demande cependant une certaine maîtrise : faire cuire les jaunes d’œufs battus avec l’alcool choisi réclame de l’attention puisqu’il est nécessaire que cela s'effectue à feux doux, sans jamais dépasser les 65°.
Désormais servie aux quatre coins du monde, cette crème sucrée peut aussi être préparée avec de l’Amaretto, du Grand Marnier, voire même du champagne. A noter qu’aujourd’hui le sabayon ne se consomme plus uniquement en dessert et existe en version salée. Ainsi, il est par exemple recommandé de le préparer avec du champagne lorsqu’il accompagne des huîtres.
Peau croustillante et chair moelleuse : voilà les caractéristiques de ce plat dont la réputation n’est plus à faire. Pour être réalisé à la perfection, il demande une préparation minutieuse, mais aussi une grande expérience de la part du chef qui le prépare.
Une fois la volaille plumée, une incision est réalisée de façon à pouvoir lui injecter de l’air qui va permettre de décoller la peau de la chair. Elle est ensuite plongée dans l’eau bouillante, puis séchée. C’est alors qu’intervient l’étape du laquage : ce dernier est préparé à base de miel, de sauce soja, de vin de riz et d’un mélange d’épices. Une fois sec, le canard est alors de nouveau badigeonné, puis cuit dans un four ouvert en briques.
Traditionnellement, le canard est servi dans de petites crêpes de blé, composées également de morceaux de concombre et d’oignon ainsi que d’une sauce brune à base de prune et de sauce soja.
Ce plat, apparu au 15ème siècle dans la ville de Nankin, a trouvé ses lettres de noblesse trois siècles plus tard à Pékin, là où le canard était alors réputé pour sa qualité.
Âmes sensibles s’abstenir, seuls les plus téméraires oseront goûter cette spécialité d’Asie du Sud-Est… Un fœtus de canard, de poule, ou encore de cane. En clair, un œuf fécondé et couvé pendant 18 jours, qui est ensuite bouilli.
Au menu donc, une coquille qui contient un embryon presqu’entièrement développé. Au moment de le mettre en bouche, vous apercevrez clairement sa tête, son corps, son bec, ses pattes, et même parfois quelques plumes.
Reconnu comme un aphrodisiaque puissant, rempli de protéines et peu calorique, il est généralement apprécié dans les marchés street food. Pour le déguster, rien de plus simple : agrémenté de sel et de poivre, parfois de jus de citron, il se consomme en une bouchée et est gobé d'une traite.
Cette soupe, plat national du pays, est un bouillon de bœuf (qui a cuit pendant au moins 8 heures) composé de morceaux de bœuf, de nouilles de riz et d’herbes aromatiques. Traditionnellement consommée lors du petit-déjeuner, elle l’est désormais tout au long de la journée.
Très parfumé grâce à des épices comme la cannelle, l’anis et la cardamome, et présent partout dans les rues, ce plat tire ses influences dans la cuisine française (le Vietnam faisait partie de l’Indochine française), puisqu’il emprunterait son nom au pot au feu hexagonal.
Immensément populaire auprès des vietnamiens, toutes générations et classes sociales confondues, les locaux ne le consomment pas seulement pour se sustenter, mais également pour se relaxer et profiter du plaisir d’un repas réconfortant.
Il existe également une version de cette soupe avec du poulet, depuis 1940, au moment où la viande s’était rarifiée, du temps de l’invasion japonaise.
Un passage dans cet état du nord-est américain, c’est l’occasion de déguster du homard préparé sous toutes ses formes puisque ce crustacé y est pêché abondement.
Plat typique, c’est le fast-food version luxe : un pain similaire à celui du hot-dog, sauf qu'il ne renferme pas une saucisse mais des morceaux de homard froid, assaisonnés d’un mélange préparé à base de mayonnaise. On le mange généralement accompagné de shoestring fries, des frites très fines et ultra-croustillantes.
Ce sandwich a, vous vous en doutez bien, un prix puisqu’il faut compter environ 20 dollars. Le top ? Dégustez-le face à l’Océan Atlantique !
Gourmandise composée d’un biscuit préparé à base de poudre d’amande, de blancs d’œuf et de sucre, elle n’est pas, contrairement à ce que beaucoup pensent, originaire de France mais bien d’Italie (de Venise précisément, où "macarone" signifie "pâte fine" dans la langue vénitienne).
Devenu aujourd’hui une spécialité française, grâce à Catherine de Médicis et à son mariage avec le Duc d’Orléans, futur roi de France, c’est cependant la version parisienne, avec de la ganache entre les deux coques de biscuit, qui est la plus célèbre à travers le monde.
Si les grands classiques tels que la vanille, le chocolat ou encore le caramel remportent un grand succès, les grandes enseignes de la pâtisserie jouent la carte de l’originalité, en proposant des saveurs inédites telles que orange-anis, banane-caramel, truffe blanche-noisettes ou encore poivre de baies roses.
Une odeur qui se rapproche de celle d’un fromage dont la date de péremption serait dépassée de plusieurs semaines… Vous auriez envie de consommer un tel fruit ? Probablement que non ! Pourtant, en Asie du Sud-Est, d’où il est originaire, le durian a la cote !
Facilement disponibles sur les marchés de Thaïlande, mais aussi d’Indonésie, de Malaisie ou encore de Singapour, et reconnaissable grâce à sa forme ovoïde et ses multiples épines, il n’est pourtant pas rare de voir des pancartes dans les lieux publics spécifiant que la consommation de Durian est strictement interdite, tant son odeur est nauséabonde.
Avec sa texture crémeuse et grasse, le fruit est notamment plébiscité pour ses vertus contre les maux de tête, mais aussi pour faciliter le sommeil. Pourtant, mieux ne vaut pas en abuser : très calorique, il est également dangereux pour les personnes aux intestins sensibles, ainsi que pour les femmes enceintes.
Une saucisse, du curry et de la sauce tomate… Il n’y a pas plus simple ! Ce n’est donc pas de la haute gastronomie mais pourtant, à Berlin, tout le monde raffole de la currywurst. Si vous vous y rendez, vous ne pourrez d’ailleurs pas passer à côté de ce snack très populaire en raison de son rapport qualité/prix.
Son origine, elle, reste entourée de mystère : personne ne sait vraiment qui l’a inventé. Parmi les hypothèses, celle d’Herta Heuwer qui, dès 1949, proposait ce plat emblématique dans son snack de Berlin-Ouest, ou encore la rumeur prétendant qu’elle a été créée avec les réserves de sauce tomate et de sauce Worcestershire des soldats britanniques lors du blocus de Berlin par les troupes russes.
Véritable institution (800 millions de portions sont consommées annuellement en Allemagne), la currywurst possède même son propre musée à Berlin. De quoi découvrir, notamment, que plusieurs chansons lui sont consacrées !
Sucrées, colorées, parfumées… Elles sont un véritable délice, et encore plus divines lorsqu’elles sont proposées avec un thé à la menthe. Composées de miel, de cannelle, de fleur d’oranger, d’amande... ces sucreries accompagnent chaque moment de vie, les plus tristes comme les plus joyeux.
La pâtisserie la plus célèbre reste indéniablement la corne de gazelle, avec sa forme de petit croissant, fourrée de pâte d’amande et recouverte d’une fine pâte sablée parfumée à la fleur d’oranger. Elle fait partie du patrimoine marocain et est populaire partout dans le monde. Elle est née à Fès : si vous visitez cette ville, on vous conseille d’en déguster au sein de la Médina.
Lorsqu’elles sortent du four, elles doivent être légèrement dorées. Trop cuites, elles sont alors perçues comme ratées : au Maroc, c’est même perçu comme une insulte envers les femmes.
En darija, le vocabulaire marocain, "corne de gazelle" se traduit en effet par "cheville de gazelle". La raison à cela ? Auparavant, les femmes marocaines se vêtaient de la djellaba traditionnelle, cachant au passage leur visage et leur corps, jusqu’aux chevilles. Etant donné qu’il s’agissait de la seule partie visible par les hommes, elles prenaient un grand soin à les avoir propres, lisses et blanches. C’est donc leurs chevilles que les hommes appelaient les cornes de gazelle.
Repas le plus typique du pays, avec la célèbre feijoada, il est consommé par toutes les classes sociales. Mais qu’est-ce le churrasco ? Il s'agit simplement d'un barbecue, qui est l’occasion pour les familles brésiliennes de se réunir presque tous les dimanches. La picanha, une viande qui provient d’une race de bœufs noirs élevée dans le sud du pays, est bien souvent la plus appréciée.
La règle de base pour la préparer ? Utiliser du charbon, afin qu’elle ait un bon goût de bois. Avoir recours à une churrasqueira, un système électrique, est donc (presque) synonyme de péché.
Les morceaux, assaisonnés de gros sel, sont très souvent servis avec une sauce piquante à base de piments rouges, du vin blanc, de l’huile d’olive et du vinaigre.
Dans les grandes villes, les churrascarias sont nombreuses : les serveurs font le tour des tables avec d’immenses brochettes afin de déposer, à volonté, des lamelles de viande aux convives.
Des odeurs incomparables et une farandole d’épices colorées… La cuisine indienne permet indéniablement de s’évader ! Parmi les mets qui sont un classique dans le pays, le dal (ou dahl) : ce plat à base de légumineuses, riche en protéines et vitamines, convient parfaitement aux végétariens, qui représentent un tiers de la population indienne.
Très souvent consommé avec du riz, il peut aussi l’être avec des nans, un plat qui est bien plus qu’un aliment puisqu’il est bien souvent utilisé comme couvert, dans une nation où l’on mange souvent avec ses doigts. Généralement, il est également servi avec un laitage appelé raita.
La recette du dal varie d’une région à l’autre, et chaque famille en possède sa propre version, qui se transmet de génération en génération.
Du flan enrobé de pâte feuilletée, le tout saupoudré de cannelle… Appétissant, n’est-ce pas ? Certes, ce n’est pas le mieux si vous êtes au régime, mais cette petite pâtisserie portugaise vaut le détour !
Sa recette, détenue secrète, a été inventée par des nonnes : jugées trop délicates pour effectuer des travaux d’agriculture, elles passaient alors leur journée en cuisine à, notamment, préparer de nombreuses recettes à base des œufs pondus par leurs poules.
Le pastel attire de nombreux touristes à Belém, le quartier de Lisbonne où il a vu le jour, même si aujourd’hui on en trouve dans tous les cafés et boulangeries de la capitale portugaise, voire même dans tout le pays.
>> Cet article peut aussi vous intéresser : 9 plats portugais à découvrir et savourer
Composé de poisson cru mariné, ce plat paraît simple à réaliser. Néanmoins, il ne faut pas négliger la préparation de sa marinade composée de citron vert et de chicha (liquide fermenté à base de maïs) et de son assaisonnement, réalisé à base d’ail, de coriandre et de poivrons, qui apportent au palais des saveurs incomparables.
Généralement servi avec de l’avocat, des patates douces ou du maïs, l’origine du ceviche est controversée. Parmi les hypothèses liées à son apparition : son nom serait une déclinaison du mot arabe sibech, qui signifie "nourriture acide".
Traditionnellement préparé avec du mérou, le plat est déclinable à souhait et, aujourd’hui, on en retrouve avec du thon ou encore des fruits de mer. Certains chefs n’hésitent pas non plus à revisiter sa marinade, en remplaçant notamment le citron vert par du pamplemousse ou de l’orange. Véritable star au Pérou, le ceviche possède même sa propre journée officielle, le 28 juin, et figure depuis 2004 au patrimoine culturel.
En français, c’est ce que l’on appelle du cochon d’inde ! S’il est totalement impensable d’en consommer sous nos latitudes, ce n’est pas le cas dans les Andes centrales, où son nom fait référence à son couinement. Son goût, proche du lapin, est apprécié des péruviens puisqu’ils en dévorent chaque année plus de 60 millions.
Ordinairement abondant lors des grands évènements (en ragoût ou frits), il est réputé pour être riche en protéines, et est surtout moins gras que le poulet ou le porc.
L’animal a d’autres vertus puisque les guérisseurs traditionnels péruviens s’en servent pour diagnostiquer les maladies, en le faisant circuler au-dessus de la personne atteinte, avant de passer au crible les entrailles de la pauvre bête pour déterminer l'origine du mal.
Littéralement, une chaudrée de palourdes. Cette soupe dans laquelle on retrouve des coquillages, des pommes de terre, du jus de légumes et de la crème, est également parfois servie avec des lardons, ou en version tomatée, et agrémentée de crackers sur le dessus.
A l’origine, il s'agissait d'un plat destiné aux hommes travaillant sur les bateaux, avant de se populariser sur l’ensemble du territoire américain puisqu’aujourd’hui, on en consomme aussi bien sur la côté est qu’ouest.
La particularité de cette soupe est qu’elle est bien souvent servie dans un bol… fait de pain au levain ! Ce dernier, imbibé de soupe, est alors ultra-savoureux.
Spécialité juive dont les origines remontent au 19ème siècle, elle a vu le jour en Europe centrale (plus particulièrement en Roumanie), avant d’être importée aux Etats-Unis (et d’y connaître son heure de gloire) par les migrants juifs.
Sandwich bien garni pouvant faire office de plat, il se consomme dans les rues de New York mais se retrouve aussi très souvent à la carte des delicatessen, aussi appelé deli, traduits en français par "restaurant-traiteur".
La pastrami, un morceau de poitrine de bœuf fumé et trempé dans la saumure, est emprisonné entre deux tranches de pain tartinés de moutarde et servi traditionnellement avec du chou blanc et des cornichons.
L’établissement le plus réputé pour le déguster ? Chez Katz Delicatessen, dans le quartier du Lower East Side. Un endroit rendu célèbre par le film « Quand Harry rencontre Sally », où les deux personnages y mangent… un sandwich au pastrami ! Ce dernier se mérite : des files se forment souvent sur le trottoir pour pouvoir accéder au restaurant, et l’attente peut se compter en heures.
L'escapade culinaire se poursuit dans la ville qui ne dort jamais, mais au rayon sucré cette fois ! Place au cronut, cette pâtisserie devenue un véritable phénomène mondial en 2013. A son initiative, un Français, Dominique Ansel, qui a ouvert sa boulangerie dans le quartier de Soho deux ans plus tôt.
Le cronut est en réalité un ovni culinaire : une pâte feuilletée, similaire à celle d’un croissant français, dont la forme ressemble à celle d’un donut américain. Le tout est frit, avant d’être fourré de crème puis orné d’un glaçage. Résultat : des files gigantesques devant l’établissement du pâtissier français, des personnes faisant le pied de grue pendant plusieurs heures, et beaucoup de déçus ayant parfois parcouru des centaines de kilomètres pour rentrer les mains vides.
Acheter un cronut se révèle ainsi être une véritable aventure : seuls 250 sont fabriqués par jour, soit une offre nettement inférieure à la demande. Victime de son succès, le cronut a même son propre marché noir : proposé à 5 dollars, il peut se revendre jusqu’à 40 dollars.
Avec ce plat, c’est tout ou rien : on adore ou on déteste ! Véritable institution dans son pays d’origine, il est composé d’une panse de mouton cuite dans un bouillon, renfermant des abats hachés (cœur, foie, poumon) mélangés avec des oignons, des épices et de la farine d’avoine. Le met est présenté avec une sauce réalisée à base de graisse de mouton et d'avoine et généralement accompagné de purée de pommes de terre.
Si la première bouchée peut surprendre, les écossais, eux, en raffolent, au point même d’en consommer dès le petit-déjeuner. Concernant ses origines, elles restent vagues. Certains pensent que "haggis" serait un dérivé des mots suédois "hagga" et islandais "hoggva", qui signifient "haché" : son histoire pourrait donc être liée aux Vikings.
Complètement improbable, mais vrai, le haggis est également la star de certaines compétitions sportives écossaises. Debout sur un tonneau, les sportifs s’adonnent à un défi de lancer de poids… mais remplacent ce dernier par la fameuse panse de brebis farcie, d'un poids de 500 grammes. Le record du monde actuel est détenu depuis 2011 par Lorne Coltart (19 ans à l'époque), avec un lancé à 66 mètres.
A noter que même les végétariens peuvent profiter de ce plat puisque qu’il existe une version à base de lentilles.